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Archives avril, 2010

Tais-toi et marche!

Article publié le : Mardi 27 avril 2010. Rédigé par : Elsa Durieux

Dans la lignée des artistes comme Richard Long ou Francis Alys, qui utilisent la marche dans leur processus artistique, laissez-moi vous présenter l’artiste anglais Hamish Fulton. Ce dernier exposera à partir du 15 mai 2010 à la galerie Patricia Dorfmann (61, rue de la Verrerie, dans le 4e arrondissement, à Paris). Il y présentera son travail intitulé Walking to Paris. Hamish Fulton s’intéresse exclusivement aux expériences liées à la marche à pied. Ses marches artistiques («artistics works»), il les vit comme des performances solitaires. L’exemple suivant décrit le contenu et les limites de son travail artistique:

«Mon travail concerne l’expérience de la marche à pied. L’œuvre d’art encadrée concerne un état d’esprit; elle ne peut pas représenter l’expérience de la marche à pied. La marche a une vie propre, elle ne demande pas à être transformée en art. Je suis artiste et je préfère réaliser mes œuvres à partir de réelles expériences vécues.»

En tant qu’artiste ambulant, Fulton n’intervient pas dans la nature. Il ne cherche pas à modifier l’environnement ou à y apposer son empreinte (comme pourraient le faire des artistes issus du mouvement Land art) mais tente simplement, par la photographie, de rendre compte de son expérience du moment. Par ailleurs, ses photographies ne documentent pas les régions, souvent isolées et recluses, qu’il arpente en empruntant, entre autres, un chemin de pèlerinage près de Kent, les sentiers de nazca au Pérou ou encore des routes et des chemins en Ecosse ou en haute montagne au Tibet et au Népal. Au final ses photographies sont assez rebutantes, mais elles reflètent parfaitement le caractère inhospitalier des régions qu’il traverse. De plus, il n’y a que très peu de narration. En effet, ses photos montrent, pour la plupart, des routes et des chemins déserts qui, dénués d’un véritable point de fuite, mènent pourtant en profondeur. Pour Hamish Fulton, la marche ne constitue pas seulement un moyen de se connaître soi-même: c’est une forme artistique à part entière et, de ce fait, une constante dans son travail.Il nous détaille son processus artistique:

«L’œuvre d’art ne peut pas représenter l’expérience de la marche à pied, les influences doivent circuler de la nature vers moi et non l’inverse. Je ne procède pas à des réarrangements directs, je ne procède pas non plus en enlevant, en vendant sans le ramener un quelconque objet, je n’utilise pas de machines bruyantes pour creuser dans la nature, emporter ou découper des morceaux. Toutes mes œuvres sont faites à partir de matériaux que l’on trouve dans le commerce (cadres en bois et produits chimiques pour la photographie). Je n’utilise pas d’objets trouvés dans la nature tels que des os d’animaux ou des pierres de rivière. La différence des approches a une signification symbolique, non écologique.»

Pour son œuvre intitulée The Pilgrims’ way , il utilise une prise de vue d’un chemin forestier bordé d’arbres majestueux et à moitié couvert de racines et de buissons. Cette photographie est mise en relation avec des informations sur le déroulement de la marche. La photographie et le texte, écrit avec une typographie sobre, ont été montés sur un carton blanc, puis insérés dans un simple cadre brun. C’est certainement le contexte de l’exposition qui explique et nécessite cette confrontation entre texte et photographie. Néanmoins, cette comparaison révèle l’inadéquation entre narration et image au vu de l’expérience physique et spirituelle de la marche à pied.

http://www.hamish-fulton.com

Elsa.D

Turner au Grand Palais

Article publié le : Dimanche 25 avril 2010. Rédigé par : Cindy Theodore

Actuellement, une belle exposition est consacrée au peintre anglais Turner au Grand Palais. Pourquoi vais-je parler un peu de ce peintre ? Tout simplement parce qu’il a peint de nombreux paysages (un élément fondamental de l’art géolocalisé). Des toiles d’autres peintres côtoient les siennes, et l’on peut voir alors les influences. Dans les peintures de paysages, et surtout de mer, on ressent le mouvement. Par exemple, son Déluge est beaucoup plus fort visuellement que celui de Poussin. La tempête a lieu au moment où l’on regarde le tableau, la détresse est là, tandis que chez Poussin, la tempête est passée, tout est calme.


Le Déluge,
Turner, 1805


Le Déluge,
Poussin, entre 1660-1664

On peut souligner que généralement, ces paysages ont un côté brumeux. Ces couleurs sont ternes par rapport à celles qu’utilisait Titien par exemple.


La tempête de neige,
Turner

Il a aussi pris des références issues des Métamorphoses d’Ovide. Sur le site de la Tate Britain, on peut voir des carnets de croquis de Turner (je mets le lien néanmoins, la présentation de ces carnets de croquis numériques n’est pas excellente). http://www.tate.org.uk/servlet/BrowseGroup?cgroupid=999999995
Des peintres, des graveurs, des aquarellistes comme influences: Giovanni Battista Piranesi, Abraham-Louis Ducros, Richard Wilson, Thomas Girtin, Poussin, le Lorrain, Salvator Rosa, Véronèse, Rembrandt…

Cindy Théodore

Le parcours chez Homère //L’Odyssée d’Ulysse

Article publié le : Vendredi 23 avril 2010. Rédigé par : Cindy Theodore


Vue de l’Odyssée via google earth © cindy T.

Ulysse, à travers son Odyssée [1], a parcouru une partie du globe. Voici les lieux principaux sur lesquels il a séjourné avec ses camarades, ou bien, où il a vécu des aventures.
Etape 1: Troie, à la fin de la guerre
Etape 2: Cicones, dans les montagnes de Thrace
Etape 3: les Lotophages (l’actuelle Djerba)
Etape 4: l’île des Cyclopes( l’Italie centrale)
Etape 5: l’île du dieu Éole
Etape 6:  l’île de la magicienne Circé
Etape 7 :le pays des morts
Etape 8: Ile des Sirènes
Etape 9: l’île d’Hélios
Etape 10: Chez la nymphe Calypso, à Gibraltar
Etape 11: chez les Phéaciens
Etape 12: Ithaque

Cindy Théodore

[1] L’Odyssée d’Homère, Hachette Jeunesse, isbn : 2013224222

Vidéo du Landy acte 2

Article publié le : Jeudi 22 avril 2010. Rédigé par : Liliane

Pourquoi ne pas avoir pensé plus tôt à regarder sous Google: Landy vidéos


Vidéo du landy acte 2 est presque brucenaumannienne et il y a aussi toutes les vidéos d’Alien et Clément Sellin.

Les Editions Particules, à propos du numéro 27.

Article publié le : Mercredi 21 avril 2010. Rédigé par : Charlotte Cardonne

Le journal Particules, édité par Monografik éditions, a vu le jour avec son premier numéro en octobre 2003. En sous titre, on peut lire «petites réflexions sur l’art actuel» ce qui nous informe sur le contenu du canard au titre à consonance scientifique. Particules est distribué gratuitement dans les galeries et les centres d’art, et consultable en ligne aux adresses suivantes : http://journalparticules.free.fr/ pour le dernier numéro et http://www.editions-particules.fr/accueil.htm pour accéder aux archives.
En sept ans d’existence, la conception graphique a subi quelques évolutions. On remarque l’apparition de la couleur, pour les reproductions d’œuvres, au numéro 15 sorti en juin 2006, les publications précédentes étant imprimées uniquement en noir et blanc, très certainement à cause des contraintes financières. Ce que l’on ressent du moins face au bimestriel (qui devient un trimestriel au numéro 25, juin 2009), c’est une volonté de sobriété favorisant le texte à l’image, qui pourtant reste nécessaire lorsque l’on parle des arts plastiques.  Loin de certains magazines traitant eux aussi des problématiques de l’art contemporain, Particules dans le choix de sa mise en page rappelle plus les quotidiens d’informations.
Aujourd’hui parvenu à la parution du numéro 27, on peut se demander de quoi le journal est il fait. Prenons le dernier paru, page par page. En couverture, on peut voir une photographie de Théo Mercier, Girls in grass, représentant des bottes de paille pourvues d’yeux, sous laquelle on trouve le sommaire, l’ours et l’éditorial. Celui-ci, intitulé « des affaires de choix » traite de la non prise de risques des institutions dans le choix des artistes exposés lors des manifestations. Prenant comme exemple Christian Boltanski qui sera le prochain représentant de la France à la Biennale de Venise. L’auteur de l’article, Gael Charbau, accuse les lois du marché qui ne facilitent pas la reconnaissance internationale des artistes français. Suit en deuxième et troisième page un entretien échauffé entre Guillaume Leingre et le peintre conceptuel Mel Bochner sur l’opacité du langage: «Ces postulats camouflent (intentionnellement) le véritable problème qui est celui des idéologies que dissimule le langage. Tous les abus de pouvoir commencent par un abus de langage (et vous ne direz sûrement pas que le langage amoureux n’est pas lui-même rempli d’exagération, de duplicité et d’aveuglement)». En page quatre, dans la rubrique Livres, Nicolas Bouyssi s’attarde sur les écrits de l’écrivain américain David Foster Wallace qui s’interroge sur la notion de postmodernisme en littérature à l’heure de sa récupération par le média télévisuel.  En continuant à feuilleter le journal, on trouve successivement une analyse de l’ouvrage d’Erik Bullot Renversements 1, notes sur le cinéma, un papier sur les arts sonores, puis de nombreux entretiens avec des acteurs de l’art contemporain,  des réflexions sur la biennale d’Istanbul et celle (alternative) de Paris, et pour finir un dossier sur l’artiste Bruno Munari et le design. Les dernières pages, une petite dizaine, sont réservées aux encarts publicitaires, expositions et appels à projet des centres et écoles d’art en grande partie et de quelques galeries. On tombe sur un petit encadré destiné à ceux (énoncés plus haut) qui souhaiteraient devenir annonceurs et distributeurs pour la somme de 300 euros par an, et sur une proposition d’abonnement pour les particuliers de 20 euros par an. On croit ainsi deviner la provenance du financement de la publication qui rappelons le est distribuée gratuitement.
La rédaction de Particules est composée d’artistes, de théoriciens, de critiques d’art, d’écrivains, ce qui en fait une revue spécialisée, créée par des spécialistes et à destinations de spécialistes. Les parcours universitaires ou institutionnels des auteurs se ressentent dans une écriture qui élève le débat, riche en références et parfois polémique. Même si le néophyte en art contemporain se sent très certainement perdu face au jargon propre à la discipline, l’initiative d’éditer de réelles réflexions non vulgarisées, et de donner la parole aux artistes de l’art actuel semble extrêmement nécessaire.

Charlotte Cardonne

En sortant du RER B, la plaine-stade de France…

Article publié le : Dimanche 18 avril 2010. Rédigé par : Cindy Theodore

Balade sonore Rue du Landy //cindy Théodore
Vous pouvez télécharger cette balade sonore ( MP3) et l’écouter en sortant du RER B ( la plaine – stade de France).

cindy théodore

The State of Things // mercredi 6 janvier 2010

Article publié le : Dimanche 18 avril 2010. Rédigé par : Cindy Theodore

Voici (enfin) mon compte-rendu sur cette magnifique exposition. Cette exposition montrait à la fois des artistes chinois et à la fois des artistes belges. Dans ce compte-rendu, je m’intéresserai exclusivement aux artistes chinois. The State of Things avait lieu au Palais des beaux-arts de Bruxelles dit BOZAR. A l’entrée de l’exposition, un petit livret était à la disposition du visiteur. Il m’a été bien utile lors de ma visite.
Après avoir descendu les marches, je me suis trouvée dans la salle 1, face à une table sur laquelle était posé un microscope, Just Did It (2008). Il fallait regarder à travers la lentille pour voir une empreinte minuscule. Xu Zhen [1] remet en cause nos croyances à travers son œuvre. En effet, il se questionne sur la vraisemblance du premier pas sur la Lune des Américains.


Just Did It
, 2008, Xu Zhen
Catalogue d’exposition : The State of Things , page 204.

Entrée dans la salle 3, sur notre droite, un écran plat diffuse une vidéo-performance de He Yunchang [2]. Cette vidéo, One Rib (2009), capte mon attention car je ne comprends pas les premières images que je vois : un homme allongé sur un lit qui discute avec des médecins….Les images ne sont pas « excellentes », elles ont sans doute été prises par une simple caméra. En regardant plus longuement, je m’aperçois qu’il a des points de sutures… on lui a enlevé une côte. Enfin… il s’est fait enlever une côte volontairement. Les images, je les trouve assez dures. Il utilise sa côte pour faire un collier. Il se fait ensuite prendre en photographie avec des femmes importantes de sa vie : sa mère, son ex-femme, sa femme…. Toutes ses femmes portent son collier, sa côte.
Les toiles d’un autre artiste chinois lui font face, Color Wheel de Yan Lei [3]. Cette série est constituée de cercles successifs peints sur des toiles. Ils ont chacun une couleur différente.


Color Wheel- NY- 1
, 2006, Yan Lei

Salle 4: Shi Guorui [4] est photographe. Il utilise la camera obscura pour réaliser ses photographies. On a l’impression d’être devant une sorte de radiographie de la ville. Il photographie des panoramas : la muraille de Chine, Hong-Kong, Shanghai (Putong)…Les tirages sont de grands formats imposants qui impressionnent le spectateur.


Shi Guorui. Hong Kong, 2006, Unique camera obscura silver gelatin print, 300 x 129 cm


Shi Guorui, New Shanghai, 2007,Unique camera obscura silver gelatin print, 136 x 352 cm.
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The Good Earth

Article publié le : Dimanche 18 avril 2010. Rédigé par : Hao Wu

Entre les deux guerres mondiales, juste après la crise économique de 1929. Il n’y a aucune raison pour douter de l’autorité de l’Europe qui avec les Etats-Unis et l’empire du Japon contrôlaient encore 80% de la superficie du monde. Dans le film Tabou de Murnau on trouve différentes sources de la musique classique ou de la peinture allemande et en même temps, on peut voir l’influence de la période de république Weimar avec le Bauhaus et les mouvements d’art avant-garde de l’Europe de l’est. On voit ensuite des images de nus (comme au début de Tabou) dans le film Olympia de 1938 de Leni Riefenstal. Quand Murnau est parti aux Etats-Unis en 1929, l’Allemagne avait déjà changé avec la crise économique.
Dans le film Tabou, il y a quelques acteurs chinois. Après le 19e siècle les nombreux chinois ont été transportés par les gouvernements coloniaux pour travailler dans le champs des petites île de l’océan Pacifique ou Atlantique (il y a des différences avec les Chinois émigrés de l’Asie du sud), parce qu’ils sont plus dociles et travaillent bien aux champs (comme les Japonais à Hawaii et au Brésil). Ce marchand chinois qui opprime l’acteur ressemble au marchands juifs du film Intolérance de D. W. Griffith de 1916, et pour changer cette image, on peut attendre jusqu’à la Seconde Guerre mondiale quand la Chine était aux côtés des Etats-Unis et le Japon aux côtés de l’Allemagne et de l’Italie.

En 1937, il y a deux films faits par deux groupes, The Good Earth par Sidney Franklin pour la Chine et Die Tochter des Samurai (La fille de Samurai ou Terre Nouvelle en japonais) par Arnold Fanck (un réalisateur montagnard allemand, né le 6 mars 1889 et mort le 29 septembre 1974) pour le Japon.

The Good Earth écrit par Pearl S. Buck raconte l’histoire de Wang lung, un paysan chinois, qui habite dans le nord de la Chine. Un film joué par les acteurs blancs, pour une histoire americaine. A la différence de Tabou, avec un happy ending (très style Hollywood), et d’autre part c’est une histoire très américaine, qui raconte la vie d’un homme qui luttait et réussit dans son travail. C’est très proche du rêve américain, et notamment pour les Américains, ce film a montré la Chine comme un pays allié des Etats- Unis.
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Journal Particules, bimestriel gratuit. Réflexions sur l’art actuel.

Article publié le : Dimanche 18 avril 2010. Rédigé par : Liliane

http://www.editions-particules.fr/accueil.htm
journal Particules, bimestriel gratuit* est déposé dans les galeries, musées, librairies. Découvert dans la soirée de lancement du numéro 28 dans la galerie LHK où il s’exposait: toutes les pages simplement épinglées à hauteur d’œil sur une ligne horizontale courant sur les trois murs blancs et sur la vitrine passée au blanc de chaux. La galerie LHK, située au 6, rue Saint Claude au centre du Marais, projet commun de Julien Labrousse, Michaël Huard et Perséphone Kessanidis (étudiante en arts plastiques à Paris 8 en 2000) ferme aura vécu un peu plus de trois ans et va devenir la Galerie Jousse Entreprise.

*«Les éditions Particules ont été créées en juin 2007. Elles prolongent et complètent le travail éditorial du journal Particules, bimestriel gratuit créé en 2003 par Gaël Charbau, qui traite de l’art contemporain et de ses rapports avec la société. Les éditions Particules diffusent des livres d’artistes, des catalogues et des essais ayant pour objet l’art et la société contemporaine.
Elles sont dirigées par Gaël Charbau.»

Luc Bronner. Conversation. Banlieues et médias: une incompréhension mutuelle

Article publié le : Samedi 17 avril 2010. Rédigé par : Liliane

Luc Bronner, journaliste au Monde, «en charge» des banlieues. A la question posée (que nous nous posons encore à propos du Landy) :
«Votre travail semble souvent s’apparenter à un travail d’ethnographe. Comment faites-vous pour vous faire accepter dans ces quartiers ? Comment parvenez-vous à créer des liens avec ces populations ?»
Luc Bronner : «Le facteur temps est essentiel. J’ai la chance, en travaillant au Monde, de pouvoir consacrer un plein-temps à mon travail dans les quartiers, donc de pouvoir intervenir dans les phases de crise, évidemment, mais aussi dans les périodes calmes, celles où on peut créer des contacts, celles où on peut raconter les banlieues dans leur complexité.
 Sur Tremblay en France, par exemple, je suis le quartier populaire de cette ville de Seine-Saint-Denis depuis près d’un an, pour essayer de comprendre son évolution. Je crois que c’est une des pistes pour améliorer les relations entre les médias et les quartiers : éviter les traitements en dents de scie – extrêmes en période de crise, quasiment inexistants le reste du temps – et montrer qu’on s’intéresse à ces territoires sur le long terme. Au fond, ce qui me frappe, ce n’est pas tant le fait qu’il y ait des violences urbaines que le silence de ces quartiers. On connaît en France un niveau élevé de ségrégation sociale et ethnique sans que les habitants protestent réellement. Ou alors par l’abstention. Pour moi, le taux extrêmement élevé de l’abstention aux élections régionales aurait dû être considéré comme un événement plus grave que les émeutes de 2005, parce que plus massif, touchant des centaines de milliers d’adultes, et pas seulement quelques milliers d’émeutiers.»
Télécharger le texte du chat, accessible sur le monde.fr


Ecole du blog avec Luc Bronner
envoyé par Bondy_Blog. – L’info internationale vidéo.
Ecole du blog. Samedi 13 février 2010, Luc Bronner expose sa façon de travailler.