-- La figure dans le paysage (Paris 8) » Exposition-Biennale

NOFOUND photo fair!

Article publié le : Samedi 12 novembre 2011. Rédigé par : Andra Chitimus


…si vous en avez marre de grands foires d’art bourgeoises au grand palais ou il vous faut une petite fortune ou 2heures d’attente le soir du vernissage pour rentrer essayez le nofound photo fair!

C’est une gorgée d’air fraîche, très jeun, très queer, très éclectique, NSFW  et carrément en vogue.

Vous aller voir des beaux livres de Terry Bigus Dickus Richardson sur ses parentes, des micro-livres japonaises super sympa, beaucoup de tirages lo-fi et de l’excellente bière japonaise au bar.

Aussi un espace diaporama dédié aux blogs photo et une cinquantaine des galeries enrageantes/indie/alternatifs de Paris/Londres/Allemagne et Japon.

Lina Scheynius par New Documents

En plus, ça coûte que 2euros pour entrer et vous aller récupérer de belles cartes postales de presque chaque stand!

Il faut aussi se rappeler que l’organisateur est Emeric Glayse, le curateur de nofound avec lequel vous êtes un peu familiers déjà.

Alors, allez-y!

66 rue de Turenne (Marais)

Saturday 12, Sunday 13 and Monday 14 November 2011 • 11am-8pm

— comment aller

Metro : Saint-Paul (line 1) and Chemin Vert ( line 8 )
Bus : Turenne (29) , Place des Vosges (96), Saint Claude (25, 60)
Velib : Station n°3002 Saint Gilles

Amar KANWAR – au centre Pompidou

Article publié le : Jeudi 14 juillet 2011. Rédigé par : Cindy Theodore

Actuellement au centre Pompidou, l’exposition Paris-Delhi-Bombay nous offre une vue de l’art contemporain indien et de ces influences sur la scène française.

Nous intéressant cette année aux livres, Amar Kanwar propose dans cette exposition une œuvre que je trouve superbe: The Counting Sisters and Other Stories (2011). Un vidéo projecteur projette des vidéos sur la page de droite, que le visiteur tourne à son rythme (il n’y a pas d’interactivité, la vidéo se déroule « normalement », que l’on tourne la page ou pas) et le texte du conte se trouve à gauche (en anglais). La vidéo contient du son.

The Counting Sisters and Other Stories (2011), Amar Kanwar, au Centre Pompidou

The Counting Sisters and Other Stories (2011), Amar Kanwar, au Centre Pompidou

Photos CT

Ai Weiwei et Anish Kapoor

Article publié le : Mercredi 22 juin 2011. Rédigé par : Cindy Theodore

Et des papillons sont tombés du ciel,

sous cette lumière de sang.

Anish Kapoor dédie Leviathan à Ai Weiwei .


Tee-shirt phosphorescent pour Ai Weiwei (mais difficile à prendre en photo…)

Photos : CT et NE

Paris Delhi Bombay et Ai Weiwei

Article publié le : Mardi 21 juin 2011. Rédigé par : Cindy Theodore

Un journal posé sur la table, à côté de l’œuvre de Riyas Komu, Au-delà des Dieux (2011)…


Riyas Komu, Au-delà des Dieux (2011)


Le  journal

CT

Exposition Construction(s)/Déconstruction(s)

Article publié le : Mardi 7 juin 2011. Rédigé par : Cindy Theodore

RENDEZ-VOUS LE MERCREDI 8 JUIN

POUR LE VERNISSAGE DE L’EXPOSITION

(de 12h à 18h) dans le hall de l’université Paris 8

En ce début de XXIe siècle, où l’ère de l’urbanisation, de la globalisation change notre rapport à l’espace, à la société et au temps, aborder le thème de la construction et aussi de la déconstruction n’est pas anodin. Chaque époque, chaque ville, chaque individu y a été confronté. Comment trouver l’équilibre ?

Juliette Singer et Jean-Max Colard écrivaient que «le chantier [peut être perçu] comme image du monde en transformation, et comme métaphore de la création artistique». Dans ce prolongement, nous mettons ici l’accent sur les liens entre la(les) construction(s) et la (les) déconstruction(s) en nous associant avec sept jeunes artistes talentueux, Marco Calderón, Marc Yu-Chieh Chan, Sung Young Cho, Sung Jae Revo Kim, Corinne Laurent, Hui Li et Zhenchen Liu. Comment les artistes perçoivent-ils cela et de quelle manière retranscrivent-ils ces questionnements ? L’utilisation des nouveaux médias apporte une pluralité de réponses possibles.

Les nouveaux médias, art de notre époque, sont peu représentés dans les institutions culturelles contrairement à la peinture et à la sculpture. Pour cette exposition, l’espace leur est entièrement consacré. Nous sommes face à un nouveau phénomène, les nouvelles connectivités créent de nouvelles formes d’interactions avec différents domaines, tel que l’art, la technologie. Cela engendre une diffusion globale de l’art des nouveaux médias.

Hui Li & Cindy Théodore,

Commissaires de l’exposition

L’exposition aura lieu du mercredi 8 au mardi 21 juin 2011, du lundi au vendredi, de 12h à 18h, dans le hall d’exposition de l’Université Paris 8.

 

ENTRÉE LIBRE

adresse :2 rue de la Liberté, Saint-Denis

métro 13: Saint-Denis Université

partenaires : le FSDIE de l’Université Paris 8, Let me make art

association LET ME MAKE ART

Mal au pixel 2011

Article publié le : Dimanche 5 juin 2011. Rédigé par : Liliane

http://rybn.dyndns.org/malaupixel/2011: Tout le programme très chargé. Mathieu Marguerin est le curator de Mal au pixel 2011 axé sur l’Open source au quotidien dans sa spécificité écolo-démocratique.

Jeudi 2 juin 2011, 20h, Gaîté Lyrique, Paris 3e. Mathieu Marguerin, Liliane T. et Hugo de Oliveira. En avant-première, le projet open source biologique d’un collectif d’artistes indonésiens. © jlb

Partant d’un fait de société, la prohibition de l’alcool en Indonésie et les production frelatées qui en résultent, les membres de HONF se sont intéressés au développement d’une technologie de fermentation stable et libre, qui permettrait une autoproduction saine, à l’aide d’une nouvelle souche de levure et à partir de divers fruits.
Le projet IB:SC («Intelligent Bacteria : Saccharomyces Cerevisiae») est issu d’un programme de recherche arts-sciences entre le médialab HONF de Yogyakarta et des chercheurs de l’université de Gajah Mada (UGM). Explorant les champs de la microbiologie et des biotechnologies, l’enjeu est de jeter des ponts entre les disciplines pratiques et théoriques, et de produire des innovations à partir d’infrastructures génériques et de technologies «abordables», c’est-à-dire des solutions open source. Togar, Timbil et Akbar produisent une nouvelle installation au cours de cette résidence, l’occasion de développer leurs connaissances sur cette levure mais aussi de partager le processus qui aboutira, évidemment, à une dégustation. http://www.natural-fiber.com/

Morellet au Centre Pompidou

Article publié le : Samedi 21 mai 2011. Rédigé par : Cindy Theodore

photos: CT

Jace à la galerie Magda Danysz

Article publié le : Jeudi 19 mai 2011. Rédigé par : Gaspard Imbert

L’artiste bientôt quadragénaire originaire de la Réunion nous livre cette fois une toute autre dimension de sa production artistique. Celle-ci n’est pas à l’extérieur mais bien présente sur les murs de la galerie de la rue Amelot. Jace joue au provocateur et s’approprie des images à tendance éducative des années 70, qu’il recompose avec ironie et dont il transforme le sens, sens qui était plutôt naïf à la base. Par exemple, en plaçant des bouteilles d’alcool et quelques pétards entre les mains d’enfants déjà souriants; ou en introduisant des gremlins, ou bien un Casimir malade, un Ronald (de Mcdonald’s) plutôt sadique, un Ben Laden mesquin, ainsi que toutes sortes d’objets et de gestes obscènes au beau milieu de scènes de vie familiales à l’eau de rose. A consommer sans modération !

Le paysage invisible- projet de l’installation

Article publié le : Jeudi 12 mai 2011. Rédigé par : Hsin-I Chuang

Le projet “Le paysage invisible“ se manifeste sous la forme d’une installation, qui consiste en la mise en place de quatre éléments : une petite maison cireuse, un texte, une photo de Synesthésie et des cartes postales envoyées depuis différents pays. Des relations se tissent entre les éléments, matériaux et textes, possédant toutes le même statut en terme d’importance.  J’ai tenté, à travers ce projet, de placer les possibles paysages du térritoire.

La petite maison cireuse temporelle, qui n’existait pas autrefois sur la carte de Saint-Denis, est disposée sur le toit de Synesthésie. À partir de cet élément et à travers l’utilisation de trois documents (photographie, texte et cartes postales), je m’interroge sur les possibles paysages du lieu d’exposition et fait ressortir trois formes : le paysage antérieur, le paysage du vécu et le paysage narratif.

  • -(1) Une photographie de Synesthésie — un paysage antérieur
    Je représente l’Espace Synesthésie à travers une photographie originale, avant la mise en place de la maison cireuse, afin d’établir les connexions entre l’apparence antérieure de Synesthésie et l’apparence en relation avec le dispositif cireux. L’indication d’identités de cet espace ne s’exerce pas exclusivement au niveau physique, mais comprend également le contexte, ou la prise en compte d’autres points de vue.
  • -(2) Un texte rédigé par l’artiste — un paysage du vécu
    Par l’écriture de ce texte descriptif et par sa lecture, je montre le paysage que j’éprouve et expérimente (paysage identique à celui du spectateur). Cette idée de représentation par l’écriture rend alors possible le dialogue existant entre un paysage réel présenté que je présente et un paysage du vécu, interstice entre deux expériences.
  • -(3) Des cartes postales reçues — un paysage narratif
    Au cours de l’exposition, je invite des personnes qui ne viendront jamais à Saint-Denis, à écrire un texte décrivant le paysage de Synesthésie sur une carte postale. Cette carte sera ensuite envoyée à l’espace cireux. L’expérience de la visite se basera uniquement sur mon exposé et se jouera de l’absence corporel du visiteur fictif. Les textes de ces cartes postales montrent ainsi un monde plus perceptif et se révèlent auprès du spectateur comme les paysages narratifs de Synesthésie.

Le spectateur se trouve alors confronté à plusieurs niveaux de lectures simultanés, reflets de croisements temporels et d’interrogations sur l’expérience physique de l’espace réel. Ce projet sera exposé à Espace Synesthésie à partir du 19 mai jusqu’au 16 juillet 2011.

Hsin-I CHUANG

 

 

Renée Levi et le Credac

Article publié le : Samedi 7 mai 2011. Rédigé par : Hui Li
http://www.vimeo.com/23405222