Samedi 17 novembre 2012, 11h-17h, Shanghai, Biennale, Power Station of Art. Roy Ascott, que j’ai connu lors de l’exposition Electra (Musée d’art moderne de la Ville de Paris, 1983-1984, commissaire : Frank Popper) avec son installation La Plissure du texte, eut la bonne idée de m’inviter à la Biennale de Venise en 1986 pour exposer l’installation Pékin pour mémoire (Tom Sherman, Roy Ascott, — au centre de la photo ci-dessus — et Don Foresta étaient les commissaires de la section « Tecnologia e Informatica »). Roy Ascott, né à Bath, Angleterre, en 1934, était une sorte de gourou international de l’art cybernétique et informatique, il l’est resté et l’on n’a pas cessé de le croiser. C’est sympathique de trouver rassemblés ici (Juliette Xiaoying Yuan, curatrice), à la biennale de Shanghai, tout un ensemble de documents de lui, inédits pour moi. JLB
The variability and indeterminacy of my work reflects the way, even in science, that all hypotheses — about ourselves, or of the world — are transient and incomplete. The only certainly is the process of becoming. La Plissure du texte, a salute of course to Roland Barthes Le Plaisir du texte, applies not just to the three works in this exhibition that have this title, but to my work more generaly. In my art, I want to conflation of pleating with pleasure, and texte with tissue, to promote intimacy and empathy, such that I believe there can be love in the telematic embrace. Roy Ascott, Reactivation, catalogue de la 9e biennale de Shanghai, 2012, p. 50.