Karine Diakité – Aurélie Jacquet – Clémentine Randon-Tabas
Article publié le : Vendredi 11 février 2011. Rédigé par : Anne
Dorota Lemieszkiewicz, Le monde derrière les vitres, 01
Dorota Lemieszkiewicz, Le monde derrière les vitres, 02
Dorota Lemieszkiewicz, Le monde derrière les vitres, 03
Dorota Lemieszkiewicz, Le monde derrière les vitres, 04
Dorota Lemieszkiewicz, Le monde derrière les vitres, 05
Dorota Lemieszkiewicz, Le monde derrière les vitres, 06
Dorota Lemieszkiewicz, Le monde derrière les vitres, 07
Dorota Lemieszkiewicz, Le monde derrière les vitres, 08
Leur spécialité, la filature…
- » Si vous bougez on va vous suivre! Mais jusqu’à présent…je bougeais parce que vous bougiez! »
- » Il est très rare de pouvoir tourner dans ce service ultra protégé »
- » On avait une allée d’herbe avec différentes poubelles on en a reproduit une! «
- » Cet homme à la besace est un agent secret »
- » Neuf fois sur dix ces surveillances ne donnent rien »
- » Nous notre mission est de déjouer un attentat avant qu’il soit commis »
- » Une quinzaine d’attentats déjoués par les techniques de surveillance et les agents secrets «
- » On se dit que c’est forcément le KGB! »
- » Ils décryptent leurs intentions et leurs dangerosité, notamment en surfant sur le net »
- » Selon eux s’est un islamiste radical »
- « Ils n’utilisent pas le mot attentat, mais le mot « mariage » »
- » Comment vous faites pour identifier leur mots de code? Il y a un glossaire propre aux islamiste. »
- » On les a eu sur le dos pendant 24h00! »
- » Un service de renseignement étranger a prévenu de son arrivé sur le territoire »
- » 4000 personnes travaillent ici dans le plus grand secret »
- » Qui décide de ça? »
- » Donc là vous allez bouffer on vous suit… »
- » Quel que part en France ils espionnent les terroristes jusqu’au bout du monde »
- » Est-ce vraiment nécessaire de nous raccompagner à l’hôtel, ce n’est pas si dangereux que ça Deauville? »
Images et textes extraits de:
- Extrait du « petit journal » de canal+
- Documentaire France 2 sur la DCRI
- Vidéo amateur d’une manifestation
Elliott Amy et Sylvain Raudrant, 'Unvisible death', video still #1, 2011
Elliott Amy et Sylvain Raudrant, 'Unvisible death', video still #2, 2011
Elliott Amy et Sylvain Raudrant, 'Unvisible death', video still #3, 2011
Elliott Amy et Sylvain Raudrant, 'Unvisible death', video still#4, 2011
Elliott Amy et Sylvain Raudrant, 'Unvisible death', video still #5, 2011
Elliott Amy et Sylvain Raudrant, 'Unvisible death', video sill#6, 2011
Elliott Amy et Sylvain Raudrant, 'Unvisible death', video still#7, 2011
Elliott Amy et Sylvain Raudrant, 'Unvisible death', video still#8, 2011
Elliott Amy et Sylvain Raudrant, 'Unvisible death', video still#9, 2011
Estelle Zingone, #1
Estelle Zingone, #2
Estelle Zingone, #3
Estelle Zingone, #4
L’architecture et le paysage urbain incorporent maintenant en standard des fonctions de surveillance. La sécurité a été esthétisée, incorporée discrètement dans la conception architecturale au point d’être devenue quasiment invisible aux yeux de la majorité des citoyens. Comme dit l’artiste Manu Luksch à propos de son travail FACELESS “ce qui me fascine le plus c’est ce que cette esthétique raconte implicitement”.